Ingrédients pour une caponata pour 4 à 6 personnes : 800 g d’aubergines -12 cl d’huile d’olive – 1 branche de céleri – 1 oignon – 300 g de tomates fraîches (ou l’équivalent en boîte tomate concassées) – 1.5 c à c de sucre semoule – 12 cl de vinaigre – 100 g d’olives noires qu’on dénoyaute
1 c à s de pignons de pin torréfiés – 25 g de câpres – 1 càsoupe de raisins de Corinthe – quelques feuilles de basilic pour la déco
Tailler les tomates en quartiers, à l’aide d’un petit couteau, ôter la partie centrale avec les pépins. Tailler la pulpe en petits dés, réserver ou plus facile ouvrir une boîte de tomates concassées.
Ciseler les oignons – Tailler le céleri branche à environ 1 cm et découper les feuilles également.
Faire sauter les oignons avec une partie de l’huile d’olive, jusqu’à coloration, puis ajouter les tomates et le céleri branche avec les feuilles et le sucre.
Mélanger et cuire à feu très doux pendant 10 minutes environ en remuant fréquemment.
Couper les aubergines en 6 sur l’épaisseur-longueur en tranches puis en dés.
Faire sauter les aubergines avec le restant d’huile d’olive, jusqu’à coloration (elles vont perdre de leur eau, et de leur volume).
Les égoutter dans une passoire (histoire de gagner quelques calories). Les ajouter à la sauce tomates et les laisser revenir pendant 10 minutes. Une minute avant la fin de la cuisson, rajouter les câpres, raisins secs, et le vinaigre.
Laissez refroidir puis mettre au frais.
Au moment de servir saupoudrer de basilic frais finement ciselé et de pignons torréfiés.
Source de cette recette tirée de la bible des recettes italiennes : « La cuillère d’argent » – page 112.
Ps : L’auteur préconise de mettre les aubergines à dégorger avec du gros sel. Je n’ai jamais fait cela car je me suis toujours demandée ce que ça pouvait rajouter. Puis je fuis tant que possible, l’excès de sel. Je n’ai pas mis les raisins à tremper, inutile, car au contact de la sauce chaude, ils vont se réhydrater sans problème.
J’ai doublé les quantités pour en congeler une partie. Pour sa dégustation l’auteur préconise de manger tiède, j e préfère confectionner mon plat la veille et le déguster froid. Un pur régal, je vous le recommande vivement. L’essayer c’est l’adopter !
Une autre recette de caponata prise chez mon amie Mimi
Sur ces notes je cuisine à minima et la vision d’un framboisier qui comme tous les végétaux du jardin (et nous) suffoque sous la chaleur intense, je vous souhaite à tous de passer d’excellents moments et vous retrouve avec un plaisir renouvelé très vite pour un nouvel échange gourmand ! D’ici là, prenez bien soin de vous. Vous le valez bien !