S’il y a un fruit que j’adore, ce sont les dattes. Dès que j’ai un coup de pompe 4 amandes ou 2 dattes et ça repart. Depuis que j’ai les moules à maamoul, il ne se passe pas un an, sans que j’en confectionne. Ces petits biscuits tout à fait délicieux sont sans sucre ajouté. Le sucre provient des dattes. Même sans moule vous pourrez tester cette recette, et je ne doute pas un instant qu’ils soient délicieux. Ils sont plus faciles que les makrouds. Pour une quarantaine de biscuits maamouls aux dattes sans sucre ajouté :

375 g de semoule fine – 125 g de farine – 225 g de beurre – 7 cl de lait-  20 g eau de fleur d’oranger

300 g de dattes en purée – 1 càcafé de cannelle

La veille, ou le jour même 2 à 3 heures avant de confectionner les maamouls.

Mélanger la semoule, la farine avec le beurre fondu.

Rajouter le lait et l’eau de fleur d’oranger. Mélanger pour former une boule. Couvrir de film alimentaire et laissez reposer dans un endroit sec.

Le lendemain, ou quelques heures plus tard.

Commencer par mélanger la purée de dattes et de cannelle. Formez des petites boules. Elles doivent être plus petites que la boule que sera former avec la pâte.

Former des petites boules de pâte de la grosseur d’une noix. En prendre une l’étaler légèrement, déposer la boule de dattes. Refermer la boule.

Mettre une bonne cuillère à café de la farce de pistache. Refermer en rabattant les bords (de façon à obtenir une boule)

Mettre la boule dans le moule à maamoul, aplatir le dessus avec votre main. Puis taper (d’un coup sec) votre moule sur un torchon posé sur le plan de travail. Cela permet de sortir le gâteau du moule.

Si vous n’avez pas de moule, vous pouvez utiliser une fourchette pour faire des motifs à la main.

Les disposer sur une plaque à pâtisserie couverte de papier sulfurisé,

Enfourner pour 10 minutes environ (jusqu’à ce que le dessous soit doré) dans un four à 180°. Saupoudrer de sucre glace avant de servir.

Source de cette recette d’un blog que j’adore une référence Paris-Alep

Pourquoi ne pas siroter un thé à la menthe ou un café en se délectant de la plume de Charif MAJDALANI. Ce journal qui décrit la vie « survie » d’un Beyrouth après l’explosion du 4 août dans le port de la ville de 2 750 tonnes de nitrate d’ammonium. …un hymne de résilience, de force et de courage puis quand l’humour est de la partie. J’ai trouvé ce témoignage passionnant.

 Sur ces notes libanaises, je vous souhaite à tous de passer d’excellents moments, je vous souhaite à tous de passer d’excellents moments, je vous retrouve rapidement pour un nouvel échange gourmand. Prenez bien soin de vous, vous le valez bien !