J’ai utilisé une terrine ronde de 18 cm de diamètre et 1 terrine rectangulaire de 8 x 12 – hauteur de 7,5 cm
Terrine au jambon blanc-magret-chorizo inratable
800 g de chair à saucisse – 1 kg de jambon blanc – 200 g de chorizo (de qualité donc pas trop gras) – 200 g de magret séché ou confit
Epices : 1càcafé de 4 épices – 1càcafé d’épices rabelais – 2 càc de piment d’espelette – 10 g de sel
Exhausteur de goût : zeste d’un citron – 20 g d’armagnac – 1 poire guyot découpée en dés (avec la peau) – 10 feuilles de laurier
Mixer 800 g de jambon blanc – le chorizo auquel on enlève la peau et le magret, leur rajouter la chair à saucisse. Découper en dés les 200 g de jambon blanc, couper la poire en deux l’évider puis trancher en dés.
Dans un saladier mélanger les viandes, les épices et les exhausteurs de goût. Remplir les deux terrines. Tapisser le dessus de feuilles de laurier. Couvrir
Dans le plateau (lèche frite de votre four) d’eau chaude. Préchauffer 10 minutes à 180°. Enfourner.
Cuisson 1 H 20 au bain marie à 180 °.
A mi-cuisson l’eau se sera évaporée, rajouter de l’eau chaude en la versant dans le plateau. Pour les 20 dernières minutes de cuisson enlever le couvercle de la terrine pour lui donner un joli hâle. En principe en plantant un couteau au cœur du pâté, la pointe ressort sèche, donc notre pâté est cuit.
A la sortie du four de la terrine, j’ai jeté le gras qui s’y est déposé. Laissez refroidir à température ambiante couvrir, puis réserver au frais.
Ps : A la suite de vos commentaires-réflexion, j’ai rajouté cet encart : On peut remplacer les épices rabelais dont la composition est gardée secrète par 1/2 càcafé de cannelle et 3 clous de girofle écrasés, elles renforceront le goût des 4 épices qui sont constituées de cannelle, gingembre, girofle et muscade. Je la trouve à intermarché ou à carrefour.
CONSOMMATION-CONSERVATION : Ce pâté est meilleur lorsqu’il est confectionné 8 jours avant sa dégustation.
On peut aussi le congeler une fois froid et on aura jusqu’à trois mois pour le consommer. On peut le congeler une fois cuit pour une consommation ultérieure, ou tel quel ou tranché, disposé sur un plateau, une fois congelé on l’enveloppe dans du film alimentaire puis une poche et zou conservation au congélateur. Pour le déguster on le sort la veille et on laisse décongeler dans le frigo. Un pâté se déguste frais.
Au moment de servir, trancher puis accompagner de cornichons, pains frais et comme ici d’un confit de poivrons (ce confit est un délice que je vous conseille vivement d’essayer car je suis sûre que vous succomberez à son goût à nul autre pareil. Il fait toujours son petit effet et se déguste à la petite cuillère).
Sur ces notes rustiquement assumées, je vous souhaite à tous de passer d’excellents moments et vous retrouve, très vite, avec un plaisir renouvelé pour un nouvel échange gourmand !